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Chez-Yorbaf

  • : Le blog de Yorbaf
  • : Tout ce qui me plait : Bouquin et cinéma entre copines, bricolage divers, déco, cuisine, voyages, arts, TV... sans aucune indiscrétion sur ma vie privée.
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Mon blog à moi !

C'est ici que vous trouverez des trucs de moi, sur moi, à moi, pour moi, en moi, par moi, avec moi, ... 
Bonne visite et n'hésitez pas à laisser vos commentaires !

Les Vieux Dossiers

12 décembre 2012 3 12 /12 /décembre /2012 08:51

Un roman de 1979 qui semble avoir été écrit l'année dernière tant le sujet, le personnage et ses états d'âme me semblent d'une extrême actualité. Le talent de Katherine Pancol se révèle merveilleusement dans ces pages. J'adore son style, le choix des mots, sa façon d'appeler un chat un chat et la simplicité avec laquelle elle traduit les dédales des sentiments humains...

Décidément j'adore cette écrivaine !

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29 juillet 2012 7 29 /07 /juillet /2012 21:35

nullQuelle étrange impression !

 

Non, je n'irai pas jusqu'à dire qu'on comprend ce qui a poussé cet homme au crime le plus horrible qui soit... mais la vision (certes romanesque) que donne Emmanuel Carrère de cette affaire est pour le moins touchante. Touchante, au sens propre du terme...

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9 mai 2012 3 09 /05 /mai /2012 07:35

Bonne idée que cette expérience réalisée en classe par un professeur d'histoire, mais quand l'expérience dépasse son instigateur ça commence à faire vraiment peur...

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8 avril 2012 7 08 /04 /avril /2012 09:58

 

Carrément déçue ! Alors que j'attendais un truc de folie, une explication qui m'aurait retourné le ventre, une révélation fabuleuse... Ben nan, ça tombe à plat !

En tout cas, je n'y ai pas trouvé mon compte.

Tant pis... Au suivant !

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31 mars 2012 6 31 /03 /mars /2012 09:50

Encore lu Je l'aimais d'Anna Gavalda...

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21 mars 2012 3 21 /03 /mars /2012 09:38

Extrait :

« La douleur de Lucile, ma mère, a fait partie de notre enfance et plus tard de notre vie d’adulte, la douleur de Lucile sans doute nous constitue, ma sœur et moi, mais toute tentative d’explication est vouée à l’échec. L’écriture n’y peut rien, tout au plus me permet-elle de poser les questions et d’interroger la mémoire.
La famille de Lucile, la nôtre par conséquent, a suscité tout au long de son histoire de nombreux hypothèses et commentaires. Les gens que j’ai croisés au cours de mes recherches parlent de fascination ; je l’ai souvent entendu dire dans mon enfance. Ma famille incarne ce que la joie a de plus bruyant, de plus spectaculaire, l’écho inlassable des morts, et le retentissement du désastre. Aujourd’hui je sais aussi qu’elle illustre, comme tant d’autres familles, le pouvoir de destruction du Verbe, et celui du silence.
Le livre, peut-être, ne serait rien d’autre que ça, le récit de cette quête, contiendrait en lui-même sa propre genèse, ses errances narratives, ses tentatives inachevées. Mais il serait cet élan, de moi vers elle, hésitant et inabouti. »

 

C'est vraiment un  très beau livre mais terriblement difficile à lire tant la souffrance suinte à chaque page... Quel courage il a fallu pour parvenir à écrire un texte pareil et quel bel hommage pour la mère de l'auteur ! Même si... J'adore le titre.

  

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4 décembre 2011 7 04 /12 /décembre /2011 22:43

Offert par Del pour mon dernier anniversaire (14 ans, ça se fête, n'est-ce pas !) et dévoré à coup de dimanches matins à flemmarder sous ma couette. J'ai adoré ! C'est une histoire charmante et pleine de... délicatesse !

 

Voilà la 4ème :

« François pensa : si elle commande un déca, je me lève et je m’en vais. C’est la boisson la moins conviviale qui soit. Un thé, ce n’est guère mieux. On sent qu’on va passer des dimanches après-midi à regarder la télévision. Ou pire : chez les beaux-parents. Finalement, il se dit qu’un jus, ce serait bien. Oui, un jus, c’est sympathique. C’est convivial et pas trop agressif. On sent la fille douce et équilibrée. Mais quel jus ? Mieux vaut esquiver les grands classiques : évitons la pomme ou l’orange, trop vu. Il faut être un tout petit peu original, sans être toutefois excentrique. La papaye ou la goyave, ça fait peur. Le jus d’abricot, c’est parfait. Si elle choisit ça, je l’épouse…

- Je vais prendre un jus… Un jus d’abricot, je crois, répondit Nathalie.

Il la regarda comme si elle était une effraction de la réalité. »

Delicat--jpg

Merci Del !

Et vivement le 21 décembre puis que ce sera, avec Cat, notre prochaine sortie ciné entre copines...

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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 21:42

éd. Séguier, 2007

fillette-velo.jpg

 

Un peu de poésie, le temps de replonger  en enfance...

Une écriture classique, très XIXème siècle, un peu de nostalgie, beaucoup de souvenirs...

Une lecture vraiment apaisante...

 

L'auteur n'est autre que le fils d'une cousine de mon père. Nous serions donc cousins issus de germain (si je ne me trompe pas) !

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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 21:33

Kira-et-Mythos.jpg

Encore un auteur dans la famille ! Ici, il s'agit d'une cousine de mon papa...

 

Histoire étrange d'un couple vivant dans une société nouvelle où les lois du clan ont gommé les sentiments.

Kira et Mythos veulent échapper à cette intrusion du droit collectif dans l'intimité de leur couple. Ils veulent n'être qu'un et vivre à l'écart de la meute qui guette la moindre émotion...

J'ai aimé la sensualité de ce couple marginal... J'ai aimé la cruauté de leur destin...

Et quelle fin... Aussi surprenante que tragique !

 

éd. L'Harmatan, 2011

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21 février 2011 1 21 /02 /février /2011 07:41

Bravo papa !

 

Tu peux être fier de toi... moi je le suis en tout cas !

Après 10 ans de travail, de recherches, de déplacements,

de lectures, de pages griffonées, il est là !

 Tout beau, tout neuf !

Ton premier livre !

  Louis-Deligne-book.jpg

Avis aux amateurs de lecture !

 

Quatrième de couverture :

 

Le roman vrai du lieutenant Louis Deligné (1894-1918)

         Le 27 mai 1918, sur le front du Chemin des Dames, un jeune lieutenant vendéen, cerné, refuse de se rendre. Il est abattu, laissant Marie, son éternelle fiancée.

         L’histoire que nous conte Othello Astoul a tout d’un roman, sauf qu’elle est vraie : il l’a nourrie de 684 lettres et d’un manuscrit de 3500 pages. Pourquoi ce sacrifice qui ressemble à un suicide ? Quelle souffrance secrète habite Marie, qui la conduit à refuser le bonheur ? Et d’ailleurs, ce qu’elle veut croire de la mort de Louis, est-ce bien la vérité ?

         Cette aventure d’une grande fraîcheur de sentiments nous permet de comprendre comment ces officiers des régiments de l’Ouest, affectés sur les coups les plus durs, ont permis à leurs hommes de tenir, malgré les obus, la boue et l’absurdité de la guerre. Sans haine et sans gloriole. Elle nous fait aussi pénétrer les secrets de cette « chrétienté » vendéenne alors si impitoyable aux amoureux, et qui pourtant produit des êtres aussi lumineux.

 

 

>>>  N'hésitez pas à me contacter pour passer commande (10 €).

 

 

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